La sous-représentation des femmes dans les sciences est une préoccupation majeure pour la communauté scientifique. Stéréotypes, autocensure, sexisme… : ces causes sont combattues dans le but de garantir des chances égales d’obtenir des postes à responsabilité.
En revanche, les conséquences des biais de sexe et de genre sur le type de connaissances scientifiques sont beaucoup moins débattues. Pourtant, d’importantes études de cas révèlent des biais généralisés dans la recherche elle-même. Certains induisent des hypothèses mal formulées, des conceptions expérimentales inadaptées, des analyses et des interprétations des données faussées…
Heureusement, des solutions existent pour rendre à la fois les connaissances scientifiques et les environnements de travail plus inclusifs.
Aude Bernheim est chercheuse en microbiologie et en génétique, responsable de l’équipe Diversité moléculaire des microbes Inserm U1284
Informations pratiques
- Date : mardi 10 octobre de 12h à 13h
- Lieu : siège, salle 1345 au 13e étage
- Les inscriptions sont closes