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Partager la recherche, autrement

À l'Inserm, la science ne se partage pas qu’entre laboratoires : elle se raconte aussi à toutes et tous, notamment lors du festival InScience. S'engager pour la culture scientifique, c’est rendre le savoir accessible au plus grand nombre. Retour sur trois initiatives de médiation scientifique conçues à l’occasion du festival.

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Ces productions — deux bandes dessinées et une série de dessins animés — représentent une manière originale et créative de rendre la science plus proche et compréhensible.

Des formats illustrés pour mieux comprendre la recherche

Dans la série InScience : cultive ta santé avec l’Inserm, l’autrice-illustratrice Maïté Robert nous plonge avec humour dans l’univers de la recherche biomédicale. Accessible dès le collège, cette bande dessinée présente des projets menés par des scientifiques de l’Inserm à travers un langage simple, des personnages attachants et des illustrations vivantes. Elle explique : « le dessin aide beaucoup à se représenter des notions complexes, comme les cellules ou les hormones, qu’on ne peut pas voir à l’œil nu. Le fait de créer une galerie de personnages aux caractères affirmés pour les représenter facilite la compréhension, et rend les concepts plus visuels. »

Une vignette de la BD Inscience, Neurones POMS : vous en reprendrez bien un peu ?
Une vignette de la BD Secrets de recherche, Reportage en terres cellulaires

Dessinée par Margot Del Valle, la série Secrets de recherche propose huit bandes dessinées numériques. Guidé par la professeure Biblibio, le lecteur explore, page après page, des projets scientifiques décryptés par des scientifiques passionnés. Pour les visuels, l’autrice s’inspire de données scientifiques, comme des clichés de microscopie électronique ou des schémas structurels, pour les associer à une narration vivante et des analogies visuelles. « Je voulais proposer un format immersif, où le lecteur voyage au sein des mondes microscopiques qui peuplent notre corps, guidé par un scientifique de l’Institut ».

Une minute pour rêver la recherche

Enfin, la collection de dessins animés Chercheurs d’un monde meilleur, conçue par Mathilde Gÿo, motion designer et illustratrice, propose cinq courts-métrages d’une minute. Ces pastilles poétiques destinées à tous, enfants comme adultes, mettent en lumière les enjeux et découvertes de la recherche Inserm à travers une écriture visuelle plus onirique. La créatrice explique : « Garder une ambiance proche du rêve permettait de parler de la recherche de façon plus métaphorique. Cela permet d’adoucir le propos et de proposer un autre point de vue sur l’activité de recherche ».

Ces projets n’auraient pas vu le jour sans l’implication généreuse des chercheuses et chercheurs qui ont partagé leur temps, leurs travaux et leur enthousiasme. Un grand merci à toutes celles et ceux qui ont contribué au festival Inscience, ainsi qu’aux chercheurs impliqués dans la création des bandes dessinées InScience et Secrets de recherches, ainsi qu’à la série de dessins animés : Daniela Cota, Hugo de Oliveira, Emilie Pacary, Nathalie Sans, Eric Delaporte, Gabriel Courties, Jean Albrengues, Nathalie Dejucq-Rainsford, Jérôme Becker, Nadia Aguillon Hernandez, Anne Dejean, Fanny Lafouresse, Jessica Tallet, Julie Klein, Thomas Henry, Sébastien Carnicella, Alessandro Farné, Guillermo Orsi, Nicolas Anton, Olivier Huck et Eloi Verrier. Ces contenus sont proposés par l’Inserm avec le soutien de l’ANR.

Faire vivre la science au-delà des labos

Ces initiatives, conçues avec l’appui des responsables communication de l’Institut, illustrent des formes créatives de médiation scientifique. Mais s’engager dans une démarche de promotion de la science peut aussi prendre corps au travers d’actions plus ponctuelles, par exemple en participant à des événements grand public ou en accueillant des stagiaires de 3e ou de 2de. 

Pour faciliter la prise de parole dans l’espace public, l’Inserm a publié des recommandations claires pour se protéger et communiquer de manière responsable. Pour des projets de communication plus poussés, les responsables communication de l’Institut restent à l’écoute, et accompagnent les chercheuses et chercheurs dans leurs démarches.

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