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Le magazine de l’Inserm fait peau neuve !

Depuis sa naissance en 2010, le magazine de l’Inserm n’a pas cessé d’évoluer pour mieux répondre aux attentes de ses lecteurs et de ses lectrices. Aujourd’hui sa transformation va encore plus loin pour s’ancrer pleinement dans une démarche d’accessibilité et d’écoconception. Découvrez les coulisses et toute l’équipe aux manettes de sa nouvelle formule.

National
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« Trimestriel d’information, le magazine de l’Inserm illustre les découvertes, débats et questions d’une recherche biomédicale en constant mouvement » : telle pourrait être la devise de ce magazine désormais bien connu par ses 25 000 abonnés qui le reçoivent gratuitement en version papier dans leur boîte aux lettres ou encore peuvent le lire en ligne sur inserm​.fr.

Après quinze ans d’existence et une formule inchangée depuis 2016, il était temps de remettre à plat son sommaire pour proposer une lecture plus fluide avec des formats variés s’articulant autour du dossier thématique central : des actualités, des reportages, des portraits de chercheurs, des débats, des pages consacrées à la culture scientifique mais aussi des pages plus « pop » et même… des mots-croisés !

À gauche, l’ancienne version du magazine. À droite, la nouvelle formule, plus aérée et épurée.

Le fond…

Derrière un magazine, il y a toute une équipe et le magazine de l’Inserm ne déroge pas à la règle. Ce sont ainsi une vingtaine de personnes qui se cachent derrière chaque numéro : un duo de rédacteurs en chef, une dizaine de journalistes, un directeur artistique, un maquettiste, une iconographe, un photographe et enfin des « femmes de l’ombre » (les secrétaires de rédaction). C’est ensemble qu’ils ont réfléchi à proposer cette nouvelle formule. L’objectif ? « Nous avons souhaité nous moderniser tout en gardant l’ADN du magazine à savoir un contenu fiable, sourcé et toujours validé par nos chercheurs », explique Lucile André, rédactrice en chef. « J’ai rejoint la rédaction dès la création du magazine, raconte Yann Cornillier, rédacteur en chef historique. Dès l’origine, nous voulions un média ancré dans son époque. Cette nouvelle refonte devrait nous permettre de toucher un nouveau lectorat, plus jeune mais aussi plus sensible aux questions d’une recherche responsable et durable. » Au-delà de cette réflexion sur le contenu, il a également fallu réfléchir à la forme, et c’est peu dire que sur ce point, la refonte est spectaculaire.

… et la forme

Pour sa direction artistique, la nouvelle maquette se devait d’être plus aérée et moins consommatrice d’encre. L’accessibilité devait également être renforcée, d’où le choix d’utiliser des caractères plus grands pour une meilleure lisibilité sur le papier, et d’une version numérique adaptée aux personnes en situation de déficit visuel. Une place importante est toujours accordée à l’illustration, véritable « marque de fabrique » du magazine, que ce soient au travers des portraits des chercheurs et chercheuses ou encore de l’illustration du dossier thématique, réalisée par un artiste différent à chaque numéro.

L’ancienne maquette du magazine.
La nouvelle maquette, plus écoresponsable.

« Ces contraintes formelles nous ont obligé à revoir la mise en pages mais aussi à faire des choix. D’où l’idée de proposer des formats modulables, quitte à faire parfois des articles moins longs mais avec des angles éditoriaux plus assumés », conclut Yann Cornillier. Enfin, au niveau de la fabrication, l’équipe a opté pour un papier issu de forêts gérées durablement, sans blanchiment au chlore.

Forte de ces choix, la nouvelle formule remplit ainsi ses objectifs et il ne reste qu’à lui souhaiter une longue vie !