Du nouveau sur Inserm pro
Cette été, l’Institut revient sur de nouveaux contenus qui ont enrichi Inserm pro au cours des six derniers mois : recherche participative, science ouverte et charte graphique.
Une rubrique consacrée à la science ouverte
Dès 2003, l’Inserm s’est engagé à soutenir la science ouverte, en signant la Déclaration de Berlin sur le libre accès à la connaissance en sciences exactes, sciences de la vie, sciences humaines et sociales. Depuis, la mise à disposition, pour l’ensemble de la société, des productions scientifiques issues de recherches financées sur fonds publics est devenue l’une des priorités du Plan stratégique 2025 de l’Institut.
Mise au point sur les preprints
À l’initiative de l’Inserm, du CNRS et de l’Inra, les alliances Aviesan et AllEnvi ont adopté fin 2017 une position de principe reconnaissant les preprints comme « une forme recevable de communication scientifique, particulièrement pour les résultats de la recherche fondamentale ». Comment définir un preprint et son intérêt ? Quelles sont les règles à respecter ?
Déposer dans HAL, l’archive ouverte nationale
Le plan stratégique de l’Inserm inscrit dans ses priorités d’accélérer le développement d’une science ouverte et responsable. L’Inserm accompagne ses équipes dans cette évolution.
Analyse des dépenses Inserm liées à l’open access et aux publications
Accroissement du nombre de publications, augmentation des frais de la publication en open access (APC), coexistence des modèles lecteur-payeur et auteur-payeur : l’analyse des données de l’enquête nationale menée depuis 2015 permet de faire le point sur la question à l’Inserm.
Un accord transformant pour favoriser la science ouverte
À travers le consortium Couperin, l’Inserm participe à un accord transformant avec l’éditeur américain Wiley qui permet à l’Institut d’obtenir des compensations sur les dépenses liées à la publication en open access.
L’Inserm propose un modèle de plan de gestion de données
L’Inserm met à la disposition de ses équipes un modèle pour élaborer des plans de gestion des données (PGD). Cet outil méthodologique structurant est destiné à aider les personnes qui ne sont pas des experts en matière de données, à appréhender et à sécuriser la structuration et la gestion des informations de leurs projets de recherche.