La scientifique, qui obtient une bourse de 20 000 €, travaille sur le plus fréquent des troubles de la fertilité féminine, le SOPK, qui touche une femme sur dix. Elle et son équipe cherchent à développer des outils de diagnostic précoces et des pistes thérapeutiques efficaces.
Le syndrome des ovaires polykystiques est la pathologie hormonale la plus fréquente chez les femmes en âge de procréer. Ce syndrome est caractérisé par une production excessive d’hormones masculines (androgènes), des troubles de l’ovulation responsables d’infertilité, et des ovaires d’aspect anormal.