Accident vasculaire cérébral : une piste pour protéger des séquelles

Occitanie Pyrénées
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À l’Institut des maladies métaboliques et cardiovasculaires de Toulouse (Inserm / Université Toulouse III – Paul Sabatier), le groupe de recherche dirigé par Marie-Pierre Gratacap, chargée de recherche Inserm, a identifié une cible potentielle pour prévenir une partie des lésions causées par un accident vasculaire cérébrale ischémique et, ainsi, limiter le risque de séquelles associées.

© Inserm

En France, les accidents vasculaires cérébraux (AVC) sont la première cause de handicap acquis de l’adulte et la seconde cause de démence. 

Dans plus de 80% des cas, les AVC résultent de l’obstruction d’une artère cérébrale par un caillot sanguin. On parle alors d’« AVC ischémique » (également nommé « embolie » ou « infarctus cérébral »). Il s’agit d’une urgence absolue : le caillot doit être éliminé le plus rapidement possible pour limiter la privation d’oxygène dans le cerveau et les séquelles neurologiques qui en découlent. 

Le groupe de recherche dirigé par Marie-Pierre Gratacap a identifié une cible thérapeutique qui pourrait aider à en prévenir une partie. En savoir plus »

Article publié dans EMBO Rep