C’est avec une profonde tristesse que nous avons appris le décès de Claudine Orfila, chargée de recherche Inserm à la retraite, depuis 2007.
Recrutée en février 1971, elle a notamment travaillé au sein de l’unité 133 (Biologie, pathologie et pharmacologie de la microcirculation rénale) dirigée par le Professeur Suc, dans le domaine des transplantations de rein, puis poursuivi sa carrière au sein de l’EA2405 Polarisation des macrophages et récepteurs nucléaires dans les pathologies inflammatoires et infectieuses, dirigée par Monsieur Bernard Pipy.
Durant ses 36 années de parcours scientifique, Claudine Orfila a su se distinguer par son engagement, sa curiosité intellectuelle et son dévouement envers la recherche médicale.
Elle s’est consacrée à l’avancement et au progrès des connaissances dans le domaine des pathologies inflammatoires et infectieuses, apportant des contributions précieuses.
Au-delà de son parcours scientifique, Claudine s’est pleinement mobilisée et investie durant sa période d’activité mais aussi durant sa retraite, pour dynamiser la vie sociale de l’Inserm, tant au niveau national que local.
Vice-présidente du CAES de l’Inserm pendant quelques années, elle a également été responsable du secteur retraité pendant 3 ans. Chaque année elle participait activement aux retrouvailles organisées par le national.
En tant que membre du bureau du CLAS de Toulouse, elle a beaucoup œuvré en proposant et organisant de nombreuses sorties culturelles pour le plus grand plaisir des agents Inserm de la circonscription, et ce jusqu’à sa disparition.
Nous garderons en mémoire son humanité, sa bienveillance et son énergie sans faille, mise au service des agents du collectif toulousain.
Ses collègues se souviendront de son esprit collaboratif et de son soutien inconditionnel envers les jeunes chercheurs, à qui elle a transmis non seulement son savoir, mais aussi sa passion pour la recherche et la science.
En ce moment difficile, nos pensées vont à sa famille, à ses proches et à tous ceux qui ont eu la chance de la connaître et de travailler à ses côtés.
Elle laisse derrière elle un héritage qui continuera à vivre à travers ses travaux mais aussi à travers des toutes les actions qu’elle a portées au sein du CLAS.
Son souvenir demeurera une source d’inspiration pour nous tous.
