L’origine biologique de l’anxiété reste mal connue, en particulier celle de l’anxiété pathologique qui touche pourtant près de 20% de la population. Mais grâce à l’équipe Atip-Avenir qu’elle a montée et dirige depuis deux ans, Anna Beyeler, chercheuse Inserm à l’UMR 1215 Neurocentre Magendie à Bordeaux, s’est lancée le défi de révéler certains des mécanismes impliqués dans ce trouble psychiatrique.
