Les contenus de la région '' vous seront proposés par défaut, en plus des contenus nationaux sur tout le site. Ce choix s'appliquera également lors de vos prochaines visites.

Vous disposez d'une adresse @inserm.fr, @aviesan.fr, @anrs.fr,
Connectez-vous pour accéder aux pages réservées, pour voir directement
les contenus de votre délégation et pour organiser vos outils Inserm.

Un nouveau masque virucide filtrant et décontaminant

Avec l’aide des chercheurs de l'Inserm, du CNRS, de l’Université de Lille et du CHU de Lille, la société BioSerenity, fabricant de masques pour Santé publique France, a conçu un nouveau masque virucide « filtrant et décontaminant ». Selon Nicolas Blanchemain, professeur à l'Université de Lille et chercheur à l’Inserm dans l'Unité 1008 « Systèmes avancés de délivrance de principes actifs », les études en laboratoire ont montré une réduction du virus de 99,9 % en moins de 5 minutes.

L’épigénétique à l’origine de la transmission du SOPK de mère en fille

Les équipes "Développement et plasticité du cerveau neuroendocrine" de Paolo Giacobini, directeur de recherche Inserm (Lille Neuroscience & Cognition - U1172 - Inserm Université de Lille CHU de Lille) et "Epigénétique et dynamique des systèmes de mémoire" d'Anne-Laurence Boutiller, directrice de recherche CNRS (Université de Strasbourg, UMR 7364 CNRS, Laboratoire de Neurosciences Cognitives et Adaptatives), ont découvert qu’un mécanisme épigénétique était à l’origine de la transmission du Syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) de mère en fille sur plusieurs générations.

Charger plus