L’épigénétique à l’origine de la transmission du SOPK de mère en fille
Les équipes "Développement et plasticité du cerveau neuroendocrine" de Paolo Giacobini, directeur de recherche Inserm (Lille Neuroscience & Cognition - U1172 - Inserm Université de Lille CHU de Lille) et "Epigénétique et dynamique des systèmes de mémoire" d'Anne-Laurence Boutiller, directrice de recherche CNRS (Université de Strasbourg, UMR 7364 CNRS, Laboratoire de Neurosciences Cognitives et Adaptatives), ont découvert qu’un mécanisme épigénétique était à l’origine de la transmission du Syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) de mère en fille sur plusieurs générations.