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Une nouvelle technique d’imagerie pour détecter l’arthrose – Formes sévères de Covid-19 – Entretien d’Emmanuel Macron pour le Parisien.

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Une nouvelle technique d’imagerie pour détecter l’arthrose plus tôt

L’Inserm révèle des travaux sur une nouvelle technique d’imagerie capable de voir les os et les tissus mous à la fois, utile pour détecter l’arthrose en amont. Actuellement, « aucune prise en charge ne permet de prévenir, de guérir, ou de freiner son évolution », rappelle l’Inserm. L’arthrose est complexe car elle touche aux os, aux cartilages, aux tissus, aux ligaments, à la membrane synoviale (située à l’intérieur de l’articulation). Or, pour l’étudier, on fait des radios, mais cela « ne permet pas de voir les tissus cartilagineux et mous », explique Jérôme Guicheux, directeur de recherche Inserm et directeur du laboratoire Médecine régénératrice et squelette à Nantes. Des chercheurs travaillent donc sur une nouvelle technique, appelée « imagerie par contraste de phase aux rayons X ». Elle permet de voir les os, d’une part, mais « elle mesure également la déviation des rayons X par les tissus, que l’on appelle « réfraction » ». Cette méthode d’imagerie, l’ICP, permettrait d’avoir des images plus claires, plus complètes, avec davantage de détails que les techniques traditionnelles. Elle évite d’avoir besoin de réaliser une IRM, une échographie et une radio sur une même partie du corps pour analyser les tissus denses et les tissus mous. Les micro-calcifications sont par ailleurs plus visibles. Le système est par contre très onéreux à mettre en place, les chercheurs estiment qu’il pourrait être disponible d’ici 5 ans.

Topsante​.com, 04/01

En bref

Malgré des schémas vaccinaux complets, les personnes ayant des défenses immunitaires affaiblies représentent le deuxième contingent des formes sévères de Covid-19, après les non-vaccinés. Transplantés, traités par des médicaments immunosuppresseurs puissants pour une tumeur ou une maladie auto-immune…, les patients avec des défenses immunitaires affaiblies sont de plus en plus inquiets, tout comme ceux qui les prennent en charge. Alors que leur nombre est évalué à 230 000 en France, les patients avec une immunodépression sévère représentent actuellement, dans certains hôpitaux, jusqu’à 30 % des malades hospitalisés pour Covid-19 en réanimation ou en soins intensifs.

Le Monde, 05/01

Laelia Benoit, pédopsychiatre et chercheuse associée au Centre de recherche en épidémiologie et santé des populations de l’Inserm, à Paris, mène actuellement une vaste étude sur l’impact du changement climatique sur le bien-être et la santé mentale des enfants et des adolescents au Yale Child Study Center à l’université de Yale (à New Haven), aux États-Unis. Elle explique dans Le Monde que « l’inaction écologique est une forme d’abus contre la jeunesse ». Selon elle, « de plus en plus de jeunes vont souffrir d’écoanxiété ». Et d’ajouter : « C’est leur solitude face à une société qui ignore le changement climatique qui les fait souffrir ».

Le Monde, 05/01

Pour sa première interview de l’année, Emmanuel Macron s’est confié durant deux heures et quart à Aujourd’hui en France. Le président a répondu aux interrogations de sept lecteurs du Parisien-Aujourd’hui en France. Alors qu’il vient de prendre la présidence du Conseil de l’Union européenne, en pleine vague Omicron, il n’a esquivé aucune question. « En démocratie, le pire ennemi, c’est le mensonge et la bêtise », a asséné le chef de l’État à l’encontre des réfractaires à la vaccination en pleine cinquième vague de Covid-19.

Aujourd’hui en France, 05/01