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Propagation du scepticisme à l’égard de la vaccination- Horloge biologique et épilepsie

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Étude sur la propagation du scepticisme à l’égard de la vaccination

Dans une étude réalisée pour la Fondation Jean Jaurès, Antoine Bristielle, professeur agrégé en sciences sociales, s’est penché sur la propagation du scepticisme à l’égard de la vaccination. Selon l’enquête, près d’une personne sur deux (43 %) affirme qu’elle ne se ferait pas vacciner contre le Covid-19, ce qui place la France parmi les pays les plus défiants face à l’arrivée d’un potentiel vaccin. Dans un entretien au Monde, Antoine Bristielle souligne : « On peut dater la chute du consentement au vaccin au moment de l’épidémie de grippe H1N1. Les nombreuses polémiques lancées alors sur l’opportunité de la vaccination et la révélation de possibles conflits d’intérêts ont enrayé durablement la confiance des Français dans les vaccins ». Il estime qu’« il est difficile de faire respecter une politique sanitaire s’il n’y a plus de confiance ». Selon lui, « il faut que le gouvernement commence dès maintenant à leur parler, à rassurer en expliquant les protocoles qui entourent les vaccins, les mécanismes de contrôle, etc ».

Le Monde, 18/11

Le rôle de l’horloge biologique dans les crises d’épilepsie

Des chercheurs de l’Inserm ont étudié le rôle de l’horloge biologique dans les crises d’épilepsie, indique Topsante​.com. Pour mieux comprendre pourquoi (et à quel moment) celles-ci se déclarent, des chercheurs français, américains, allemands et polonais se sont penchés sur le fonctionnement de l’hippocampe. Les scientifiques sont arrivés à la conclusion que les crises répondaient à un rythme particulier, en fonction de l’horloge biologique du patient. Les crises d’épilepsie peuvent survenir à des heures très variables de la journée mais, chez un même individu, elles se manifestent le plus souvent à des moments privilégiés, souligne l’étude.

Topsante​.com, 17/11