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Le variant du coronavirus risque d’accélérer la reproduction du virus – Manger gras et sucré suractive le circuit de la récompense – Alimentation des enfants

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Le variant du coronavirus risque d’accélérer la reproduction du virus

Les Echos précise que les scientifiques anglais sont les premiers à s’être penchés sur le « VOC2020 12/01 ». Au regard de leurs travaux, ils avancent l’explication suivante sur l’apparition de ce clone détecté en septembre dans le sud-est de l’Angleterre : ces mutations auraient eu lieu dans l’organisme d’un seul et même individu souffrant d’immunosuppression. Le virus serait ainsi resté beaucoup plus longtemps que chez les autres personnes contaminées dans l’organisme de ce patient, ce qui lui aurait permis de muter massivement. Ce variant semble de 50 à 74% plus contagieux que le virus initial, selon une étude de la London School of Hygiene and Tropical Medicine. « C’est considérable et cela pourrait rendre le contrôle de l’épidémie beaucoup plus difficile », alerte Arnaud Fontanet, chef de l’unité épidémiologie des maladies émergentes à l’Institut Pasteur et membre du Conseil scientifique chargé d’éclairer l’exécutif sur la gestion de l’épidémie. Le nouveau clone, n’a commencé à impacter véritablement la dynamique de l’épidémie dans son foyer d’origine qu’à partir du mois de décembre, mais il s’est ensuite très vite propagé dans différents continents, du Canada au Japon et à l’Australie en passant par le Liban et la Jordanie, mais aussi la plupart des pays européens, dont la France. Un cas a été identifié à Tours le 25 décembre dernier chez un patient en provenance de Londres.

Les Echos, 30/12

En bref

Manger sainement est devenu une priorité pour de nombreux Français comme le prouve une étude Ifop menée en avril lors du premier confinement : 56% des Français avaient envie de manger plus sain, plus équilibré et plus diversifié, précise 60 millions de Consommateurs. Toutefois indissociable de l’acte de manger, le goût ne semble pas le meilleur allié pour se nourrir sainement. Liane Schmidt, chercheuse à l’Institut du cerveau, à l’Inserm, précise que « Du point de vue des neurosciences, on sait que le goût est lié à une combinaison de nutriments. Or la plus addictive est du gras et du sucré, connue pour suractiver le circuit de la récompense ».

60 millions de Consommateurs, 01/01

60 millions de Consommateurs précise que le Haut Conseil de la santé a réactualisé les recommandations pour l’alimentation des enfants de 0 à 17 ans. Il alerte sur l’alimentation végétalienne qui n’est pas « adaptée à [..] l’enfant avant 1 an, voire 3 ans » et précise que la diversification alimentaire ne doit pas commencer « avant 4 mois révolus, et pas après 6 mois révolus », rappelant aussi l’importance des matières grasses.Pour les 3 – 17 ans l’objectif est de prévenir la suralimentation en conseillant la moitié de ce que mange un adulte pour le 3 – 6 ans, un tiers de mois pour les 7 – 11 ans, une portion équivalente pour 12 – 14 ans et supérieure entre 15 et 17 ans.

60 millions de Consommateurs, 01/01